Fuir la routine, peu importe la localisation du voyage
- laurieburet
- 7 déc. 2021
- 2 min de lecture
Depuis quelques années, le monde du voyage a fortement évolué : le tourisme a connu une forte croissance, puisque désormais, tous les ans, un grand nombre de français partent afin de fuir leur routine. Grâce à la démocratisation des transports et des agences de voyage proposant des prix attractifs, les touristes se trouvent de plus en plus nombreux partout en France.
Le tourisme s’est fortement démocratisé dans les années 1950 et est en plein essor depuis les années 1980. Les moyens de transports étant plus développés, les français se décident de plus en plus à partir en voyage pour fuir leur quotidien. Voyager est la fuite d’une certaine monotonie, le détachement de sa réalité, une thérapie par le plaisir pour se soigner de son quotidien. Certains Français partent à l’autre bout du monde, d’autre restent en France mais ils ont tous le même objectif : échapper à leurs soucis et fuir leur vie bien rangée, le temps de quelques semaines.
Généralement, les gens partent pour se faire plaisir mais il y a toujours une part de fuite au fait de voyager. Très souvent, les raisons à ces fuites sont à la suite d’une rupture de leur vie quotidienne (un divorce, un décès ou un licenciement), s’ensuit une perte de repères, une interrogation sur sa vie, qui mène à prendre le large. Un voyage peut être salutaire, voire vital, il permet de s’enrichir, d’être plus autonome et d’oublier ses problèmes.
Le voyage est, de nos jours, comme un antidépresseur, un moyen de s’échapper et de se retrouver soi-même ou en famille. Le voyage peut être considéré comme une thérapie : il est un excellent vecteur de développement personnel. Il apporte un grand nombre de bénéfices tels que la confiance en soi, l’ouverture d’esprit, l’enrichissement personnel, la maîtrise des langues, la connaissance de soi, la découverte d’autres façons de vivre, d’autres rapports à la nature, à la connaissance… Le voyage permet d’oser de nouvelles choses, de ralentir le temps et surtout de se sentir libre.
Yonna Chapelan
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